La Métropole de Montpellier a adopté son PLUi-Climat, aussi complexe à construire qu'important. Un document qui provoque toutefois la grogne de certains maires. Déroulé des débats.
Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunale (PLUi-Climat) de la Métropole de Montpellier était attendu dix ans après la création de la collectivité, un premier travail de Stéphanie Jannin dans le mandat de Philippe Saurel, puis, à l’arrivée de Michaël Delafosse et avant la rupture d’une partie des écologistes avec la majorité, de Coralie Mantion, et donc, depuis un an, finalisé par le maire du Crès, vice-président à l’Aménagement durable, Stéphane Champay. Un document aussi important que complexe à construire, qui planifie l’aménagement du territoire pour les années à venir en prenant en compte les zones agricoles et autres à préserver ainsi que les différents projets urbanistiques des 31 communes. C’est justement ce qui a mis en péril son adoption le 16 juillet dernier lors du conseil de Métropole.
