Notre commune de Saint-Jean-de-Védas est peuplée d'un peu plus de 10 000 habitants (761 hab./km²).
C'est essentiellement un territoire majoritairement urbain avec une présence agricole et naturelle.
Selon l'inventaire Corine Land Cover, l'occupation des sols donne la répartition de l'usage des sols selon trois catégories : agricole, artificialisé et naturel/forestier.

Les sols de saint Jean de Védas
En comparant les surfaces agricoles disponibles sur le territoire (toutes productions confondues) et celles théoriquement nécessaires pour nourrir ses habitants. seul 2% de la population pourrait être nourrie.
Comme l'essentiel des communes , saint jean de védas dépend d'autres territoires pour se nourrir.
Certains territoires ont choisi de préserver les espaces naturels et agricoles face à la pression foncière.
Chacun se positionne en fonction descaractéristiques de son territoire.
- Une ville fortement urbanisée cherchera la sobriété foncière en recensant le foncier dit "invisible" tel le déjà bati non utilisé qui peut être reapproprié (bureaux et commerces vacants, patrimoine public sous occupé...) ou le foncier vacant (dent creuses en ville, petites friches citadines, grandes friches industrielles...). Alors selon le choix politique certains reutiliserons ce foncier pour augmenter la densification démographique, d'autres le contraire.
- Un village entouré de métropoles, va se sentir menacé par l'urbanisation et donc bloquer l'installation de nouveaux paysans. Ici les friches sont parfois agricoles suite aux divers incendies et susceptible d'urbanisation future. Redynamiser l'agricole est une réponse permettant de réduire ces risques et d'ouvrir des milieux favorisant la biodiversité et y créant notamment des filières de qualité.
- Un village dit peri-urbain intégré dans une agglomération ou métropole se retrouve confronté à la pression de la grande ville voisine et possède aussi un territoire agricole à préserver. Que choisir ?
Alors que souhaitons nous faire?
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