Un village vigneron
Pendant des siècles, le village était essentiellement tourné vers l’agriculture et le travail de la vigne. Une activité viticole, qui a décliné au fil du temps. L’élevage des moutons était aussi une importante ressource économique
du village avec les oliviers. Autre spécialité locale, la pierre. Saint-Jean-de-Védas comptait trois carrières. Réputée pour sa dureté, elle a servi à la construction de l’aqueduc des Arceaux et des maisons de maîtres du village. Aujourd'hui le domaine viticole "le Claud" subsiste dans la commune.
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| La vendange | La carrière de saint jean de védas en 1826 | Les olives |
Un patrimone historique et naturel
Le chateau du terral ancienne propriété des évêques de Maguelone vendu en 1791 deviendra un domaine viticole jusqu'à sa vente à la commune. Le parc du terral d'environ trois hectares est composé d’un jardin à l’anglaise, d’une ancienne pinède et d’un jardin. Entre les communes de Lavérune et de Saint-Jean-de-Védas, un espace d'environ 250 mètres s'étale de part et d'autre du cours d'eau de la rivière la Mosson. Une garrigue de 258 hectares proche du quartier de saint jean le sec permet pour l'instant de se ressourcer dans notre nature.
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| Domaine du terral | Chateau du terral | les rives de la Mosson mise en valeur | 258 hectares de garrigues |
Une activité culturelle
Beaucoup d'evenements s'etalent durant l'année. Carnaval, Fête de la Saint-Jean, Fête de la Courge , Marché de Noël...
Chacun apporte son attrait dans divers quartiers de saint jean de védas. Par contre, un centre ville plus attrayant et dynamique manque au centre ville.
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Une urbanisation fulgurante depuis 2015
Depuis 2015, la croissance de la population de St Jean de Védas s’est sensiblement accélérée. Les projets immobiliers se sont multipliés avec la livraison d’environ 350 logements par an pour la ZAC Roquefraïsse. De 8.500 habitants en 2015, la population a déjà atteint 11.000 habitants en 2018, et dépassera 16.000 en 2025. La disparition de vignes et cultures, l'artificialisation massive des sols et destruction de végétation et d’arbres, une circulation non évaluée ont accompagnés cette urbanisation. Deux grands axes routiers divisent la ville, paralysés aux heures de pointe. Pas vraiment un dévelopement durable.
En 2006 ces zones agricoles et viticoles etaient considérées comme remarquables dans le SCoT de 2006 (un projet stratégique partagé pour l’aménagement d’un territoire). Depuis elles sont en voie d’enfrichement et d’urbanisation. Rien n’a jamais été fait pour retenir les exploitants, ou faciliter les reprises. 140 ha disparus en une décennie. Un coup dur pour la résilience de la commune.
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| Roque Fraisse et les halles | Environ une augmentation de 60% de la population en 8 ans | Artificilisation comparée des sols de saint jean de védas |
source:
https://www.montpellier-tourisme.fr/
https://saintjeandevedas.fr/
https://www.midilibre.fr/
https://www.st-jean-environnement.fr/urbanisme/
https://territoiresfertiles.fr/saint-jean-de-vedas
